Alors que les syndicats espagnols estiment à un million le nombre de salariés mis au chômage partiel, le gouvernement de Pedro Sánchez a pris, ce vendredi 27 mars, une décision courageuse : l’interdiction de tout licenciement pour cause de force majeure pendant l’épidémie.
Les entreprises soumises au droit espagnol ne pourront pas non plus mettre un terme aux contrats temporaires, qui peuvent être suspendus mais qui devront reprendre dès le retour à la normale.
Ces prises de position dans l’intérêt des salariés sont à la hauteur de la crise que nous vivons.
Malek SMIDA
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