Le cabinet ATLANTES vous propose régulièrement d’assister à ses Matinales. A Paris, à Lyon ou à Marseille, venez échanger avec nos juristes, nos avocats et avec d’autres élu-e-s de votre région sur la mise en place du CSE ou encore sur les moyens pour lutter efficacement contre les harcèlements et les violences au travail.
Jeudi 14 février 2019
à partir de 9h, jusqu’à 12h (petit déjeuner offert)
Aux "Canaux"
6 Quai de la Seine, 75019 PARIS
(proximité métros Stalingrad et Jaurès)
INSCRIPTIONS CLOSES POUR MARSEILLE
Les violences au travail constituent un fléau croissant qui ne cesse d’inquiéter. Alors que Jean Auroux soulignait il y a plus de 30 ans que « l’entreprise ne peut plus être le lieu du bruit des machines et du silence des hommes », force est de constater qu’en France, en 2019, le travail tue, abîme et engendre souffrance physique et psychologique.
La disparition programmée des CHSCT et des DP questionne sur la capacité des représentants du personnel au CSE à prendre à bras le corps les questions relatives aux différentes formes de harcèlement et de violence au travail. Ne baissons pas les bras pour autant !
Faisons le point ensemble pour nous approprier ces notions, les reconnaître et être en capacité de réagir. Ce temps d’échange sera aussi l’occasion de partager les bonnes pratiques et travailler à la recherche de pistes de réflexion.
Ensemble jusqu’à 12h pour échanger, comprendre vos besoins et vous accompagner au mieux. Petit-déjeuner offert.
A l’échéance du délai de mise en place institué par les ordonnances Macron, l’essentiel des instances représentatives du personnel ont fusionné en CSE. Présentée comme une réforme de simplification faisant émerger un interlocuteur unique, la mise en place du CSE a également été perçue par les salariés et leurs représentants comme un recul de leurs droits et moyens.
En deux ans de mise en place du CSE, notre constat est le suivant :
Comme nous l’avions craint, loin de « renforcer la négociation collective » et le dialogue social ou de « sécuriser » les relations de travail, les ordonnances Macron ont continué le travail de sape du droit du travail et des acquis sociaux dans la droite ligne des précédentes réformes et plus particulièrement celui de la déconstruction de la représentation du personnel au sein des entreprises. Nous constatons ainsi que, malgré les belles paroles appelant à la négociation d’accord sur le CSE, peu d’entreprises jouent vraiment le jeu. Bien souvent les négociations sont des simulacres où les négociateurs doivent se battre pour des miettes dans une négociation jouée d’avance.
Que pouvons-nous faire maintenant ? Malgré cet amer constat il ne faut surtout pas baisser les bras.
Il existe toujours, au sein des entreprises, une instance ayant pour mission d’assurer une expression collective des salariés, chargée de défendre leurs intérêts et leur santé physique et mentale.
Ce jeudi 12 décembre, nous verrons ensemble qu’il reste des outils et des moyens pour que les élus s’emparent de leurs droits et les fassent respecter. Nos avocats et juristes vous feront part de leurs retours d’expérience. Nous comptons sur votre présence pour livrer les vôtres et venir débattre avec nous.
Depuis l’entrée en vigueur des ordonnances Macron, de nombreuses instances représentatives du personnel ont fusionné en comités sociaux et économiques (CSE).
Présentée comme une réforme de simplification faisant émerger un interlocuteur unique, la mise en place du CSE a également été perçue par les salariés et leurs représentants comme un recul de leurs droits et moyens.
Presque deux ans plus tard, quelles premières constatations pouvons-nous faire ? Le CSE a-t-il permis une amélioration de la représentation des salariés et de leurs intérêts ou a-t-il au contraire affaibli celle-ci ?
C’est à ces questions que nous tenterons de répondre ce 27 novembre à Metz.
Depuis l’entrée en vigueur des ordonnances Macron, de nombreuses instances représentatives du personnel ont fusionné en comités sociaux et économiques (CSE).
Présentée comme une réforme de simplification faisant émerger un interlocuteur unique, la mise en place du CSE a également été perçue par les salariés et leurs représentants comme un recul de leurs droits et moyens.
Presque deux ans plus tard, quelles premières constatations pouvons-nous faire ? Le CSE a-t-il permis une amélioration de la représentation des salariés et de leurs intérêts ou a-t-il au contraire affaibli celle-ci ?
C’est à ces questions que nous tenterons de répondre ce 28 novembre à Nantes.
Les violences au travail constituent un fléau croissant qui ne cesse d’inquiéter. Alors que Jean Auroux soulignait il y a plus de 30 ans que « l’entreprise ne peut plus être le lieu du bruit des machines et du silence des hommes », force est de constater qu’en France, en 2019, le travail tue, abîme et engendre souffrance physique et psychologique.
La disparition programmée des CHSCT et des DP questionne sur la capacité des représentants du personnel au CSE à prendre à bras le corps les questions relatives aux différentes formes de harcèlement et de violence au travail. Ne baissons pas les bras pour autant !
Faisons le point ensemble pour nous approprier ces notions, les reconnaître et être en capacité de réagir. Ce temps d’échange sera aussi l’occasion de partager les bonnes pratiques et travailler à la recherche de pistes de réflexion.
Ensemble jusqu’à 12h00 pour échanger, comprendre vos besoins et vous accompagner au mieux.
Le cabinet ATLANTES vous propose régulièrement d’assister à ses Matinales. A Paris, à Lyon, à Nantes ou à Marseille, venez échanger avec nos juristes, nos avocats et avec d’autres élu-e-s de votre région.
Les thèmes que nous aborderons en ce premier semestre 2020 :
- Les ruptures conventionnelles, individuelles ou collectives (à Paris)
Inscrivez-vous dès maintenant, c’est gratuit et le petit-déjeuner est offert !
Pour vous inscrire à la Matinale de Paris, cliquez ici :
L’actualité du droit du travail et de ses évolutions… du bout des doigts.
En savoir plus